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"N'oublie pas de rechercher aussi le bonheur que procure une compréhension nouvelle, apportant un lien supplémentaire entre le monde et toi. Ce devrait être l'oeuvre à laquelle tu apportes le plus grand soin, et dont tu puisses être le plus fier."

 

Albert Jacquard, A toi qui n'est pas encore né.

"On se fait généralement du progrès une idée fort élémentaire"

 

Régine Pernoud (1909-1998), historienne

"Moins d'histoire et de chronologie, ça ne va pas faire des jeunes gens modernes, ça va faire des jeunes gens amnésiques, consensuels et obéissants

Régis Debray

 

 

"Les véritables hommes de progrès ont pour point de départ un respect profond du passé"

Ernest Renan

 

 

25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 14:47

D'une manière claire, voici ici les fondements de la dictature mise en place par Hitler et ses collaborateurs: notez les mots clés dans votre cahier.

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 18:27

techniques rev indus

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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 22:01

echec IV république

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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 14:27

Le 9 novembre 1989, le monde basculait. Une brèche s'ouvrait, ce jour-là, dans le mur de Berlin qui séparait l'Est et l'Ouest annonçant l'implosion de l'URSS, la fin de la guerre froide et la réunification des deux Allemagnes.

Vingt ans plus tard, le monde entier célèbre cette journée historique. Les Allemands, en premier lieu, qui se félicitent dans une immense majorité de la réunification. Pour autant, toutes les barrières qui séparaient ces deux parties de l'Allemagne ne sont pas tombées.

Klaus Schroeder, directeur de l'Institut de recherche sur l'ex-RDA, observe ainsi, dans un entretien au "Monde", qu'Allemands de l'Est et de l'Ouest demeurent "souvent étrangers les uns aux autres". Les premiers reprochent aux seconds leur "arrogance". A leur tour, les "Allemands de l'Ouest" s'agacent de ce qu'on les tienne pour responsables des différences de développement économique persistantes.

Pourtant, le fossé économique s'est considérablement réduit. Ainsi, le niveau de vie en ex-RDA – mesuré par le produit intérieur brut (PIB) par habitant – atteint désormais 70 % de celui de l'ex-RFA, contre 33 % en 1991. Mais les "nouveaux Länder" traînent encore de lourds handicaps, malgré les 1 300 milliards d'euros transférés de l'Est à l'Ouest depuis vingt ans. Le taux de chômage y est deux fois supérieur; la population, vieillissante; les jeunes diplômés partent massivement chercher du travail à l'Ouest.

Ces données générales cachent toutefois une réalité plus nuancée. Selon les mots d'Udo Ludwig, de l'Institut de prévision de Halle, l'espace oriental rassemble ainsi "des paysages florissants avec beaucoup de zones en friche".


Le déroulement des festivités (...)


Les principaux invités


Tous les chefs d'Etat ou chefs de gouvernements de l'Union européenne, mais également le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le président du Parlement européen, Jerzy Buzek, ont répondu présent.

Deux absences remarquées : celle du président américain Barack Obama (représentée par sa secrétaire d'Etat, Hillary Clinton) et l'ancien chancelier chrétien-démocrate de la réunification Helmut Kohl, pour raisons de santé.

Parmi les acteurs de 1989, le dernier dirigeant de l'URSS, Mikhaïl Gorbatchev, l'ex-leader de Solidarnosc, Lech Walesa, et l'ancien premier ministre hongrois Miklos Nemeth sont présents.


Ce que disent les sondages

Un Allemand sur huit souhaite le retour du Mur, selon un sondage de l'Institut d'études de marchés de Leipzig, publié dimanche 8 novembre par le quotidien Leipziger Volkszeitung. En revanche, 79 % des personnes interrogées considèrent que la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989 est un coup de chance pour tous les Allemands.

L'Institut Wahlen arrive à une conclusion plus optimiste : 86 % des Allemands considèrent la réunification allemande comme une bonne décision, selon une étude publiée jeudi 5 novembre.


Cécile Calla et Christophe Châtelot (à Paris)
Article paru dans l'édition du 10.11.09
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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 14:07

Mikhaïl Sergueïevitch Gorbatchev, plus rarement Gorbatchov en suivant de plus près la prononciation russe né le 2 mars 1931, est un homme d'État soviétique et russe qui dirigea l'URSS entre 1985 et 1991.

Résolument réformateur, il s'engagea à l'extérieur vers la fin de la guerre froide, et lança à l'intérieur la libéralisation économique, culturelle et politique connue sous les noms de Perestroïka et de Glasnost. Impuissant à maîtriser les évolutions qu'il avait lui-même enclenchées, sa démission marqua le point final de l'implosion de l'Union soviétique, précédée de deux ans par l'effondrement des démocraties populaires en Europe de l'Est.


Biographie


Né de parents kolkhoziens,  il est originaire du Caucase du Nord (il est né dans le kraï de Stavropol) et étudie le droit à l’université Lomonossov de Moscou où il rencontre sa future femme Raïssa. Il adhère au parti communiste en 1952 et en devient le dirigeant pour la ville de Stavropol en 1962. Entre 1964 et 1967, il étudie à l’Institut agronome de Stavropol et se spécialise dans les problèmes agricoles. Il est remarqué par Iouri Andropov qui passe ses vacances dans la région ; dès lors, sa carrière s'accélère : il est élu au Comité central en 1971 à 40 ans et au Politburo en 1980 à 49 ans

Les causes de son arrivée au pouvoir


À la fin des années 1970, le KGB dirigé par Iouri Andropov, diligenta une enquête confidentielle pour évaluer le PNB soviétique selon les critères qualitatifs occidentaux et non plus seulement en volume comme le voulait la tradition soviétique. Le résultat fut très défavorable et apportait la preuve du déclin de l’Union soviétique qui avait vu son économie dépassée par celles du Japon et de la RFA, anciens ennemis de l’URSS. D’autre part, à partir de 1978, la Chine dirigée par Deng Xiaoping, entreprit une véritable révolution économique qui rétablissait en fait des règles capitalistes et d'économie de marché dans l'économie chinoise, ce qui aura pour effet de lui donner un dynamisme considérable.

L’URSS était ainsi confrontée à une situation géopolitique nouvelle et inquiétante :

  • le Japon et la RFA disposaient désormais chacun d’une économie plus puissante que la sienne.
  • la Chine démarrait une croissance économique exceptionnelle.
  • les États-Unis accroissaient l’écart entre les deux pays.

N'étant plus capable de soutenir financièrement un rythme effréné de la course aux armements, dans un contexte de la stagnation économique et une baisse des cours du pétrole, l'URSS n'a pas d'autre choix que de songer à une détente et au désarmement
 

Son arrivée au pouvoir et les débuts de la perestroïka
Ronald Reagan et Mikhail Gorbatchev.


Consciente du danger, la direction vieillissante du PCUS porte au pouvoir le représentant d’une nouvelle génération — Gorbatchev a 54 ans — mais formé et testé à l'école du parti. Dès décembre 1984, Gorbatchev avait pu faire son entrée sur la scène diplomatique internationale, en se rendant en Grande-Bretagne, en visite à Margaret Thatcher : le numéro deux soviétique s'y était démarqué des autres dirigeants de Moscou, par son image d'ouverture et en annonçant que l'URSS était prête à une réduction bilatérale des armements nucléaires.

Arrivé au poste de Secrétaire général du Parti communiste de l’Union soviétique en mars 1985, Gorbatchev tente d’insuffler une nouvelle jeunesse à l’économie de l’URSS. Il s’efforce de sauver le système par des réformes structurelles très profondes par rapport aux principes léninistes classiques.

Gorbatchev tire son inspiration d'Alexandr Iakovlev, ancien ambassadeur au Canada, qui lui fit prendre conscience de la faillite du système soviétique dans le domaine agricole puis, de façon plus générale, dans sa stratégie de confrontation avec l'Occident. Celui-ci devint peu à peu son éminence grise et lui inspire successivement la glasnost puis la pérestroïka et, enfin, la réunification allemande.

Sa seconde NEP échoue, rencontrant une opposition au sein du parti. Gorbatchev met alors en place une politique de glasnost (transparence) et de perestroïka (restructuration) à partir de 1985 pour renouveler le pays

Tournant dans la politique extérieure

Mikhaïl Gorbatchev et Ronald Reagan en 1987.

Gorbatchev propose d'ouvrir le dialogue avec Ronald Reagan. En 1985, Gorbatchev propose "l'option zéro", au président américain Ronald Reagan, au sujet des armes nucléaires, l'auteur du slogan "America is back" refuse cette proposition. Il initie les traités de désarmement à l'origine de la rupture de l'équilibre de la Terreur, installé depuis 1945. En 1986, Gorbatchev propose un plan d'élimination des armes nucléaires à l'horizon 2000. La même année il rencontre le président américain, Ronald Reagan à Genève. Les "deux Grands" s'accordent pour réduire de 50% leurs arsenaux nucléaires, même si les Américains refusent de renoncer à l'IDS. Dans un message de Nouvel An, le président américain adresse un court message télévisé à toute l'URSS, tandis que le président de l'URSS fait de même sur une chaîne de télévision américaine. Le projet séduit ; chacun des deux présidents se montre très modéré dans son message ; la gorbymania commence à toucher les États-Unis. Un sondage révèlera même, à une époque, que Gorbatchev est plus populaire aux États-Unis que Reagan lui-même. Le magazine Time lui décerne le titre d'Homme de l’année en 1987, puis d'Homme de la Décennie en 1989 après la Chute du Mur de Berlin

En février 1988, il décida de retirer les troupes soviétiques d'Afghanistan. La décision devint effective un an plus tard.

En 1989, en visite officielle en Chine pendant les manifestations de la place Tian'anmen (avant leur répression), on sollicite son opinion sur la muraille de Chine : « Très bel ouvrage », dit-il, « mais il y a déjà trop de murs entre les hommes ». Un journaliste lui demande : « Voudriez-vous qu'on élimine celui de Berlin » ? Gorbatchev répond très sérieusement « Pourquoi pas ? ». À propos des manifestants démocrates qui troublent son séjour, il déclare : « L'URSS a également ses têtes brûlées qui veulent changer le socialisme du jour au lendemain. »

En 1990, il reçoit le Prix Nobel de la paix pour sa contribution à la fin de la guerre froide. Pourtant, le 1er mai de la même année, il est hué par certains de ses concitoyens. En effet il est très impopulaire aux yeux des fidèles du communisme qui le considèrent comme le fossoyeur du régime soviétique.

                                                                                                                                                            Encyclopédie Wikipedia

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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 10:14
C'est très dense, parfois difficile à suivre, mais en plusieurs lectures vous finirez par bien saisir les enjeux et les points de vue lors de cette conférence de février 1945.
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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 18:39

 

 

Voici les liens de courtes vidéos qui concerne la première crise de Berlin consacrant l'affrontement des deux blocs.

http://www.ina.fr/politique/politique-internationale/video/AFE85002147/crise-a-l-onu-l-affaire-de-berlin-au-conseil-de-securite.fr.html

http://www.ina.fr/video/AFE85001960/la-crise-interalliee-continue.fr.html
Ce site pourra vous être très  utile pour approfondir votre compréhension des leçons.
 

 

 

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 16:37

 

 

 

 

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 12:32


Dans l'optique de la dénazification, il fallait rapidemment, au sortir de la guerre,  juger les grands criminels nazis, c'est ce qui est fait à Nuremberg, ville "phare" de l'Etat nazi où, en 1934, les premières grandes lois antisémites avaient été publiées.

Avec le procès de Nuremberg, les responsables alliés ont voulu "boucler la boucle"...


PS: certaines images peuvent choquer. 

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